À quel point un insecte est-il dangereux ? S'agit-il de morsures fortes, de poison ou autre chose ? En fait, pour la plupart de ces insectes, c'est le fait qu'ils travaillent en équipe plutôt que seuls, mais certains d'entre eux sont tout simplement mortels à eux seuls. Alors prenez soin de vous alors que nous parcourons un monde d'insectes très dangereux...
10. Hémiptères – Kissing Bugs
Une caractéristique distinctive des hémiptères est leur appareil buccal, où les mâchoires inférieure et supérieure sont modifiées en trompe, entourées d'une lèvre modifiée pour former un « bec » ou une « tribune » capable de percer les tissus (généralement des tissus végétaux) et de sucer. IT out. liquides - généralement du jus.
Les ailes antérieures des hémiptères sont soit complètement membraneuses, comme chez Sternorrhyncha et Auchenorrhyncha, soit partiellement membraneuses, comme chez la plupart des hétéroptères. Le nom « hémiptère » vient du grec ἡμι- (moitié) et πτερόν (ptéron, « aile ») et fait référence aux ailes antérieures de nombreux hétéroptères, rigides à la base mais membraneuses aux extrémités. Les ailes ainsi modifiées sont appelées hémélytres (singulier : hémélytron), par analogie avec les élytres entièrement durcis des coléoptères, et ne se trouvent que dans le sous-ordre des hétéroptères. Les ailes antérieures peuvent être disposées en forme de toit au-dessus du corps (typique des Sternorrhyncha et Auchenorrhyncha) ou placées à plat sur le dos avec des pointes qui se chevauchent (typiques des hétéroptères). Dans tous les sous-ordres, les ailes postérieures - si elles en ont - sont complètement membraneuses et généralement plus courtes que les ailes antérieures.
9. Siafu (fourmis africaines)
Le genre de fourmis légionnaires Dorylus, également connu sous le nom de fourmis conductrices, fourmis safari ou siafu, se trouve principalement en Afrique centrale et orientale, bien que son aire de répartition s'étende également en Asie tropicale. Le terme siafu est un emprunt du swahili et est l'un des nombreux mots similaires issus des langues régionales bantoues utilisés par les peuples autochtones pour décrire diverses espèces de ces fourmis. Contrairement aux membres de la sous-famille des Ecitoninae du Nouveau Monde, les membres de ce genre forment des fourmilières temporaires, durant de quelques jours à trois mois. Chaque colonie peut contenir plus de 20 millions d'individus. Comme chez leurs homologues du Nouveau Monde, parmi les ouvriers, il existe une classe de soldats plus grands, avec de très grosses têtes et des mâchoires en forme de pinces. Ils sont capables de piquer, mais le font très rarement, s'appuyant plutôt sur leurs puissantes mâchoires coupantes.
8. Guêpes
Le terme « guêpe » est généralement défini comme tout insecte de l’ordre des Hyménoptères et du sous-ordre des Apocrita qui n’est ni une abeille ni une fourmi. Presque toutes les espèces d'insectes nuisibles ont au moins une espèce de guêpe qui s'en nourrit ou le parasite, ce qui rend les guêpes essentielles au contrôle naturel des populations ou au contrôle biologique naturel. Les guêpes parasites sont de plus en plus utilisées pour lutter contre les ravageurs agricoles, car elles se nourrissent principalement d'insectes nuisibles et ont peu d'impact sur les cultures.
7. Criquet
Les criquets constituent la phase d'essaimage des sauterelles à petites cornes de la famille des Acrididae. Ce sont des espèces capables de se reproduire rapidement dans des conditions adaptées et de devenir ensuite grégaires et migratrices. Ils forment des groupes sous forme de nymphes et des essaims sous forme d'adultes qui peuvent parcourir de longues distances, dévastant rapidement les champs et causant d'importants dégâts aux cultures.
Les origines et l'extinction apparente de certaines espèces de criquets, dont certaines atteignaient 15 cm de longueur, ne sont pas claires.
Les criquets sont des insectes comestibles considérés comme un mets délicat dans certains pays et à travers l’histoire.
6. Moustique anophèle
Anopheles (jouer /əˈnɒfɨliːz/) est un genre de moustiques. Il existe environ 460 espèces reconnues : bien que plus de 100 puissent transmettre le paludisme aux humains, seules 30 à 40 transmettent généralement les parasites Plasmodium qui causent le paludisme chez les humains dans les zones d'endémie. Anopheles gambiae est l'un des plus connus en raison de son rôle prédominant dans la transmission de l'espèce de parasite du paludisme la plus dangereuse (à l'homme), Plasmodium falciparum.
Le nom vient du grec αν, signifiant « non », et όφελος, óphelos, signifiant « profit » et traduit par « inutile ».
Certaines espèces d'Anopheles peuvent également transmettre le ver du cœur canin Dirofilaria immitis, les espèces de filariose Wuchereria bancrofti et Brugia malayi, ainsi que les virus responsables de la fièvre O'nyong'nyong. Il existe une association entre l'incidence des tumeurs cérébrales et le paludisme, ce qui suggère que les anophèles peuvent transmettre un virus ou un autre agent pouvant provoquer des tumeurs cérébrales.
5. Les fourmis de feu
Le corps des fourmis de feu, comme tous les corps d'insectes, est divisé en trois sections : la tête, la poitrine, l'abdomen, avec trois paires de pattes et une paire d'antennes. Les fourmis de feu se distinguent des autres fourmis par leur tête et leur corps brun cuivré avec un abdomen plus foncé. Les fourmis ouvrières sont de couleur noirâtre à rougeâtre et leur taille varie de 2 à 6 mm (0,12 à 0,24 po). Toutes les fourmis de différentes tailles peuvent exister dans un même nid.
Solénopsis spp. les fourmis peuvent être identifiées par trois caractéristiques corporelles : un pédicelle à deux nœuds, un propodeum non armé et des antennes à 10 segments et une massue à deux segments.
4. Frelon géant japonais ou asiatique
Le frelon géant asiatique (Vespa mandarinia), y compris la sous-espèce du frelon géant japonais (Vespa mandarinia japonica), familièrement connu sous le nom de frelon tueur de yak, est le plus grand frelon du monde, originaire d'Asie de l'Est tempérée et tropicale. La longueur de son corps est d'environ 50 mm (2 po), son envergure est d'environ 76 mm (3 po) et son dard mesure 6 mm (0,2 po) de diamètre et injecte de grandes quantités de venin puissant.
3. Mouche Tsé-Tsé
La mouche tsé-tsé, parfois orthographiée tsé-tsé et également connue sous le nom de tik-tik, est une grande mouche piqueuse qui habite une grande partie de l'Afrique continentale centrale, entre les déserts du Sahara et du Kalahari. Ils se nourrissent du sang des vertébrés et sont les principaux porteurs biologiques de maladies infectieuses. Wuchereria bancrofti, responsable de l'éléphantiasis, et les trypanosomes, responsables de la maladie du sommeil chez l'homme et de la trypanosomiase animale, également connue sous le nom de nagana. La glossine comprend toutes les espèces du genre Glossina, qui sont généralement classées dans une famille distincte, les Glossinidae.
Les glossines ont été largement étudiées en raison de leur transmission de maladies. Ces mouches sont multivoltines, produisant généralement environ quatre générations par an et jusqu'à 31 générations au cours de leur vie.
2. Les abeilles
Les abeilles sont des insectes volants étroitement apparentés aux guêpes et aux fourmis, connus pour leur rôle dans la pollinisation et la production de miel et de cire d'abeille. Les abeilles constituent une lignée monophylétique au sein de la superfamille des Apoidea, actuellement classée sous le taxon non classé Anthophila. Il existe environ 20 000 espèces d'abeilles connues réparties dans sept à neuf familles reconnues [bien que beaucoup ne soient pas décrites et que le nombre réel soit probablement plus élevé). On les trouve sur tous les continents, à l'exception de l'Antarctique, dans tous les habitats de la planète abritant des plantes à fleurs pollinisées par les insectes.
Les abeilles sont adaptées pour se nourrir de nectar et de pollen, le premier étant principalement utilisé comme source d’énergie et le second comme source de protéines et d’autres nutriments. La majeure partie du pollen sert de nourriture aux larves.
Les abeilles possèdent une longue trompe (une « langue » complexe) qui leur permet d’obtenir le nectar des fleurs. Leurs antennes sont presque toujours constituées de 13 segments chez les mâles et de 12 chez les femelles, ce qui est typique de la superfamille. Toutes les abeilles ont deux paires d'ailes, la paire arrière étant la plus petite des deux ; très peu d'espèces d'un même sexe ou d'une seule caste ont des ailes relativement courtes qui rendent le vol difficile, voire impossible, mais aucune n'est dépourvue d'ailes.
1. Puces
Les puces sont des insectes qui forment l'ordre des Siphonaptères. Ils sont sans ailes, avec des pièces buccales adaptées pour percer la peau et sucer le sang. Les puces sont des parasites externes qui vivent par hématophagie sur le sang des mammifères et des oiseaux.
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